J'me suis mis aux grilles du Loto,
Mais pas bêt'ment !
Scientifiqu'ment !
Selon les matheux du chaos.
J'explor'le monde des numéros,
Avidement !
Passionnément !
Aventurier des temps zéros.
Je fais des listes et des topos,
Continuell'ment !
En m'appliquant !
Pour espérer toucher l'gros lot.
Je fais des calculs rigolos,
Des continents !
Des océans !
La martingal'c'est pour bientôt.
Y'a une présentatrice aux gros lolos,
C'est à l'écran !
De temps en temps !
Deux fois par s'maine, c'est son boulot.
Ell'parl'de chance et trouv'ça beau,
Je sais qu'ell'ment !
C'est bien du vent !
La martingal'c'est mon boulot.
Je s'rai très riche, c'est pour bientôt,
Tirag'suivant !
C'est imminent !
Pour emm'ner ma chérie au chaud.
Mais dans mon coeur il reste un mot,
Amoureus'ment !
Pour toi seul'ment !
Le mot AMOUR écrit en gros.
Le bonheur c'est comm'le Loto,
On met du temps !
Souvent perdants !
Cett'martingale il me la faut !
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12 commentaires:
La martingale il nous la faut...
Tu as raison, c'est imminent, on va l'avoir.
J'aime ce texte
Le Chat
http://mourka-et-le-chat.spaces.live.com/
Tu sais, le bonheur, quand il est là on ne le voit pas et c'est quand on ne le cherche plus qu'il nous trouve.
Quant au loto... j'abandonne. L'amour aussi !!
Il est génial ce texte !!!
Whaou !!!
Je ne connaissais pas ce blog ? Tu le cachais ? lol
Tant pis pour toi ;o)
A bientôt !
Elisa
Je n'ai jamais cru dans les recettes ni les bonnes formules.
Ni dans l'amour non plus.
Et puis un jour il m'a serré par la taille sur un bateau...
Puis il a ri.
Je crois qu'on reconnais le gros lot à ce qu'il peut devenir en plus de ce qu'il est déjà.
Si ça peut s'avérer ta martingale.
Tu as raison ! Mais il s'agit ici d'un vieux texte de 2005. J'ai fait du chemin depuis... Effectivement, l'amour ne se cherche pas, il se trouve.
Il suffit de trouver le bon numéro, mais il y en a trop.
Trouver le lot-tôt ... ou tard, le rêve de beaucoup.
Un jour les numéros se trouve nez à nez et c'est là ... qu'il faut savoir s'arrêter de jouer !
Homme, nom : Michel, 39 ans, Châteaulin, fils Hugo, fille Anna, poète, m'a connu "un peu plus jeune"... Je donne ma langue au chat ;-b.
Je lis et relis ces textes, cherche fouille, creuse mes souvenirs, je ne vois pas, je dois, comme souvent, ne pas chercher au bon endroit... Et ça m'intrigue ! J'ai appelé quelques amis, mes parents... "ça te dis quelque chose un Michel, ect..." Rien.
Hé bien mon Capitaine, je ne suis guère qu'un mousse, mais, en guise d'excuses pour ma mémoire défaillante, quelques petits mots de mon cru... Peut-être vous convaincront-ils de me révéler votre mystérieuse identité ?
L'once n'est pas définitive parait-il
Le cœur lourd
La tête ailleurs
Le cœur ailleurs
Dans les mains, la tête
Les traits qui tirent vers le bas
Les yeux cachés sous les paupières humides
Fermées avec force
Fuient la vue du réel
Regrets mêlés d'espoirs d'où
Naît l'amertume
Souvenirs souriants
Histoire passion qui n'en fini pas, enserre l'être, assombrit les paysages, décolle la peau des os qui maintenant flotte en lambeaux dans un air malsain de tabac de sommeil de rêve permanent d'une réalité cauchemardesque d'où l'on devrait se réveiller il y a 3 mois déjà les yeux se ferment fuient la tête tombe sous la sentence, la main accrochée à la potence ne peut écrire ne peut crier
Longue ascension qui fini au fond
Langue d'une passion meurtrie, sans son
Histoire à deux qui fini seule
A devenir un sens pour un bout
D'une vie ou d'eux
A deux, venir d'une histoire,
Qui finissent seul
N'en pouvant venir à bout
D'elle
Envie d'en finir, d'oublier, las
Contre
Désir de «re», trouver, commencer, toucher, sentir, aimer, là
Dialogue de sourd en interne
Dilemme à dissoudre, bien terne
Une seule réelle issue, visible, atteignable
Mais effrayante
Parce que définitive
Bien que l'once dise toujours que non.
J'ai trouvé ! Vous avez eu la lourde charge de tenter de m'intéresser aux maths alors que j'étais un élève de seconde chevelu et boutonneux ! héhé ! Il me reste très fortement en mémoire cette histoire que vous m'aviez conté sur le nombre imaginaire d'un mathématicien suisse dont j'ai aujourd'hui oublié le nom... Dorénanvant je viendrai vous lire de temps à autre, je vous invite à faire de même ! à bientôt j'espère !
Très bien très bien, je tutoie je tutoie ! :-)
Est-ce que tu pourrais me rappeler le nom de ce mathématicien dont je parle dans on précédent commentaire ? (ce type là me fascine rien que par l'idée qu'il a eu...)
:),
j'avais l'impression de chanté en lisant celui ci...
plaisir
chanter, 'er' non ? (désolé)
C'est vrai; mais j'aime bien aussi l'idée de l'éphémère et du côté non-fini, dans l'histoire...
Encore deux ou trois rectifications et puis promis, j'arrête :P
(PS: En ce qui concerne mon autre blog, j'ai une galerie sur Deviantart alors je ne voyais pas l'intérêt de garder les deux)
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