Qui marche sur ses dents,
Le prend en pleine tronche,
Car tel est l'instrument,
Qui souffle dans les bronches !
Le râteau me méduse !
Il est imprévisible,
Et des jeunesses s'usent,
Sous ses dents irascibles...
On croit tenir enfin,
L'objet de ses désirs,
Et l'outil de jardin,
Vous laisse les soupirs...
Parfois les ouvertures,
Sont un peu trop fermées,
Du coup, c'est pour conclure,
La porte sur le nez !
On dit les feuilles mortes,
Ramassées à la pelle,
Ben moi, c'est au râteau,
Qu'ell' pointent à l'appel !
Pourtant je dois l'admettre,
De mon côté aussi,
C'en sont des kilomètres,
Qu'aux autres j'ai servi...
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2 commentaires:
Vous avez vraiment un don extraordinaire pour les mots! On ne se lasse pas de vous lire.
CELUI-CI JE L'ADORE
Margod
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