jeudi 22 juillet 2010

Petits quatrains qu'on trop embrasse et mal étreint

Si la masturbation
est à l'entraînement
ce que l'accouplement
est aux compétitions,

si tant de bovarysme
étouffe nos pudeurs
et que jusqu'à plus d'heure
on fait d'un boul'vard isthme,

si les sexes se serrent
comme le gras des fesses
dès lors que l'on professe
autrement qu'au dessert,

Laissez glisser les rimes
sur les décolletés
et les déculottées
au creux de nos déprimes.

1 commentaire:

Philippe Reguillon a dit…

rafraichissant bien que cela sente quelque peu la marée...on ne sait pas trop pourquoi.

;)